Xequere Biano Pajeú No 8 - Biano Pajeu
Xequere Biano Pajeú No 8 - Biano Pajeu
| Réf. d'article: | A602832 |
| type: | Xequeré |
| Perles: | plastique |
| Poids (net): | 0,4 kg |
Merveilleuses pièces uniques - faites à la main à Olinda : shekeré (ou aussi : agbê, xequeré) - shaker en calebasse artisanale avec des perles en plastique multicolores.
Biano Pajéu vit à Olinda et produit des xequeres dans toutes les tailles et couleurs il y a presque deux décades. Ces pièces uniques sont des vraies œuvres d’art. Shekeres sont utilisés pour des styles divers, de l’ensemble traditionnel du maracatú jusqu’à des projets plus contemporaines comme AfroBeat et autres. Le son sec et précis du xequeré donne une rythmique qui vous invite à danser.
Tous les xequerés sont produit à la main, chaque instrument est une pièce unique !
Seules les calebasses bien cultivées, uniformément stables et visuellement attrayantes peuvent devenir un shekeré. Un filet noué avec des perles en plastique est tissé autour de la courge évidée. Surtout dans le maracatú, mais aussi dans de nombreux autres genres de musique, cet instrument joue un rôle important. Que ce soit comme chronométre ou pour faire des effets sur scène, un Xequeré fait la différence ! Plus la calebasse est grande, plus le son est fort, car plus de surface est touchée par des perles.
Une calebasse ne pousse seulement dans certains régions climatiques. Pendant des mois, elle est retournée jour par jour, de sorte qu'elle ne développe aucun point de pression lors de sa croissance. À la fin, seulement quelques exemplaires conviennent à la production de Xequerés. Une fois que la calebasse est nettoyée et traitée, on reconnaît les fins dessins de bois sur leur corps lisse. Il y a plusieurs façons de jouer un shekeré. On obtient des sons non seulement par l'effet des perles, mais aussi en tapant avec la main plate sur le dessous de la calebasse.
Ce travail artisanal est supporté par Kalango.com.
Évaluations de clients pour "Xequere Biano Pajeú No 8"
"Biano Pajeu"
Biano Pajéu
En 2002 il a connu l‘agbê (nom du xéquéré au Pernambuco) quand il commençait à participer d’un maracatu à Recife. Bientôt il enseignait à jouer cet instrument particulier et la danse. Comme il n’était pas content de la qualité des shekeres qu’il y avait, il a commencé la recherche de l’instrument parfait et d’expérimenter avec la construction de ses propres xequeres. Après quelques turbulences personnelles il s’est professionnalisé en facteur d’instruments en 2017 et de faire ce que le rend heureux. « on ne vit qu’une fois » il dit de cette décision. Avec son expérience comme musicien il essaie toujours de développer son instrument et de trouver nouvelles techniques. Cela fait de ces xequeres un peu plus que simples instruments.
